Dans le dur au tir et payant très cher une première période complexe, les Couserannaises n’auront jamais réussi à inquiéter Mende sur ses terres samedi soir (26-17). Les Ariégeoises laissent donc filer un joker qui aurait pu s’avérer précieux pour la suite des opérations.
Parler de faux pas serait peut-être un peu trop irrespectueux pour des locales qui, elles, ont su prendre la rencontre par le bon bout. Mais la bande à Durrieu s’attendait à livrer une autre partie au terme de son odyssée en Lozère, et les kilomètres parcourus ne pourront pas vraiment tout justifier non plus.
D’entrée, le round d’observation entre les deux formations est arbitré par les portières des deux équipes, qui se mettent immédiatement en évidence et empêche le score de grandir de manière significative (1-1, 6ème).
La mire des visiteuses commence alors a se déréglée, tandis que Mende ne perd pas le Nord ni l’opportunité de prendre la tête au tableau d’affichage (6-2, 12ème).
La mal persiste, les Oranges et Noires ne trouvent plus le cadre et ne parviennent pas à inverser une tendance qui devient inquiétante (10-4, 20ème).
Malgré un temps mort, malgré les rotations, la situation ne se décante pas pour les visiteuses qui subissent dans cette fin du premier acte, et doivent rentrer aux vestiaires avec un retard d’ores et déjà rédhibitoire au score (14-6).
Après cette première période compliquée, l’heure est à la révolte dans les rangs Couserannais : les dames du SGHBC reviennent sur le terrain pour inverser la tendance et attaque ce nouvel acte pied au plancher, infligeant un 6-1 à des locales qui prennent la foudre (15-12, 38ème).
Mais Mende ne panique pas et, voyant l’orage s’éloigner, reprend les rennes de la partie en reconstruisant progressivement un petit matelas d’avance (21-14, 48ème).
Saint Girons a beau essayer, son adversaire du soir maîtrise la fin de rencontre, les visiteuses ne disposant pas forcément du jus nécessaire pour accrocher plus que cela des locales bien déterminées à valider un succès mérité (26-17).
Handicapées par un premier acte trop peu abouti, les Oranges et Noires auront joué leur va-t-ou dans le second acte mais n’auront jamais réussi à entamer la détermination locale. Les Couserannaises doivent désormais reprendre leur finition et leur défense pour accueillir comme il se doit le leader de la poule, dans quinze jours, en la personne de la réserve du TFH.
D’entrée, le round d’observation entre les deux formations est arbitré par les portières des deux équipes, qui se mettent immédiatement en évidence et empêche le score de grandir de manière significative (1-1, 6ème).
La mire des visiteuses commence alors a se déréglée, tandis que Mende ne perd pas le Nord ni l’opportunité de prendre la tête au tableau d’affichage (6-2, 12ème).
La mal persiste, les Oranges et Noires ne trouvent plus le cadre et ne parviennent pas à inverser une tendance qui devient inquiétante (10-4, 20ème).
Malgré un temps mort, malgré les rotations, la situation ne se décante pas pour les visiteuses qui subissent dans cette fin du premier acte, et doivent rentrer aux vestiaires avec un retard d’ores et déjà rédhibitoire au score (14-6).
Après cette première période compliquée, l’heure est à la révolte dans les rangs Couserannais : les dames du SGHBC reviennent sur le terrain pour inverser la tendance et attaque ce nouvel acte pied au plancher, infligeant un 6-1 à des locales qui prennent la foudre (15-12, 38ème).
Mais Mende ne panique pas et, voyant l’orage s’éloigner, reprend les rennes de la partie en reconstruisant progressivement un petit matelas d’avance (21-14, 48ème).
Saint Girons a beau essayer, son adversaire du soir maîtrise la fin de rencontre, les visiteuses ne disposant pas forcément du jus nécessaire pour accrocher plus que cela des locales bien déterminées à valider un succès mérité (26-17).
Handicapées par un premier acte trop peu abouti, les Oranges et Noires auront joué leur va-t-ou dans le second acte mais n’auront jamais réussi à entamer la détermination locale. Les Couserannaises doivent désormais reprendre leur finition et leur défense pour accueillir comme il se doit le leader de la poule, dans quinze jours, en la personne de la réserve du TFH.